Au début, j’avais du mal à accrocher. Je me suis remise sur le roman à plusieurs reprises, mais je ne devais pas avoir la tête à ce que je lisais ou ce n’était pas le bon moment. Et franchement, je le regrette, cette histoire est une pure merveille.
En conséquence, il est évident que cette chronique sera une bipolaire, car mes voix, ainsi que moi-même, avons beaucoup de choses à vous raconter.
D’abord, difficile de vous écrire notre point de vue sans spoiler, mais on va tenter malgré tout. Le sujet en toile de fond a fait bondir vilaine donc je vais la laisser prendre la parole et vous exposé pourquoi elle a aimé sa lecture. Sinon elle va me rendre plus folle que je ne le suis déjà.
Merci la moche (hé ! Je ne te permets pas ! Bah ! Je prends le droit 😉). Avant tout, je suis heureuse de pouvoir m’exprimer en première. Oui, je suis une féministe, mais je suis aussi et surtout un être humain. Je suis consciente que la nature peut se tromper et que mes comparses peuvent être des conn**rds finis.
Donc ce sujet, il me tenait à cœur de le lire et surtout de le comprendre. Cette histoire traite d’un fait ou plutôt d’une chose que l’on ne peut pas changer, quoi qu’on en pense, mais qui fait râler bon nombre de personnes sauf que je n’arrive pas à concevoir de quoi ils se mêlent. Mais l’auteure à réussie le challenge de le porter avec tellement de bonté que l’on arrive à se mettre à la place des personnages et ainsi que les émotions qu’ils peuvent dégager. Mais sans que l’on tombe dans le voyeurisme ou même la pitié.
Nous avons dévoré les deux tomes en quelques heures tant nous étions prises dans l’intrigue. Et il est certain que je vais soûler mon alter ego pour que Florina aille acheter la version papier dès que la bibliothèque sera prête.
Oh je vous rassure, vilaine ne va pas avoir besoin de trop me pousser. En effet, ce livre à bousculer mes préjugés qui étaient nombreux à mon grand désespoir moi qui me pensais ouverte d’esprit. Premier point, cette couverture de malade. Caroline à réussit à faire une merveille, c’est captivant presque hypnotique. Et une fois que vous êtes plongé dans l’histoire, vous vous dites : « Bordel, mais c’est pour ça ! ». Bon, je n’avais aucun doute sur le talent de cette femme (je suis d’ailleurs de plus en plus persuadée que c’est un ange tombé du ciel. Je dis ça, je ne dis rien hein 😉).
Dans le tome premier, nous suivons trois protagonistes principaux. Vous vous attachez à Chloé, Thunder, Haze et Ben. Vous riez avec eux, mais vous pleurez aussi après avoir maudit l’auteure de vous rendre si dépendants aux émotions qui parsème le livre. La fin est juste l’apothéose de ce coup de cœur et d’âme.
Je crois que je n’ai pas besoin de vous écrire plus, sachez toutefois un truc : VOUS DEVEZ lire ce livre, il vous changera en bien, c’est certain !
Un milliard de mercis à Loïs de m’avoir permis de comprendre des choses que je n’arrivais pas à assimiler, d’avoir mis un coup de pied au cul à mes préjugés. Je prie pour être meilleur après la lecture de ce chef-d’œuvre, même si je suis consciente que le chemin sera encore long pour faire évoluer les mentalités. J’espère que des romans comme celui-ci y contribueront.
En fait, non, je n’ai aucun doute, ce livre est un diamant brut.
